Les « Plumes automatiques »
Encres originales, encre de Chine sur papier toilé ou papier aquarelle.
A la manière de l’écriture automatique des surréalistes, la «plume automatique» est un dessin conçu sans projet de départ. Sur un fond de musique ou selon l’humeur du moment, la main se laisse guider par la plume ou le pinceau, qui courent sur le papier de manière aléatoire. Une fois les traits principaux tracés, des formes apparaissent (visages, silhouettes, objets, formes végétales, paysages, animaux, monstres...) ; ces formes seront ensuite mises en valeur de façon à créer une scène ou un paysage surréaliste.
"La Symphonie balbutiante", Encre de Chine et acrylique sur papier aquarelle, 36X42cm, 2013, 160€ (encadrement offert) (encadrement offert)
"Le songe d'Erik Satie", Encre de Chine et acrylique sur papier aquarelle, 30X40cm, 2013, collection particulière.
"La patience de Janacek, plume automatique", Encre de Chine sur papier toilé, collection particulière.
"Jean-Sébastien Bach se promène, plume automatique", Encre de Chine sur papier aquarelle, collection particulière.
"L'assaut de Ravel, plume automatique", Encre de Chine sur papier aquarelle, collection particulière
"L'arche de Bartok, plume automatique", Encre de Chine sur papier aquarelle, collection particulière.
Les « Impromptus »
Encres originales, stylo encre sur papier glacé
Suivant le même principe de dessin aléatoire que les «Plumes automatiques» , les «Impromptus» tirent leur nom des impromtus musicaux, dans lesquels les compositeurs s’autorisent des libertés quant aux schémas stricts de composition musicale ; dans l’impromptu, l’inspiration et l’émotion du moment priment en effet sur les formes imposées.
Sur le plan graphique, c’est la la forme abstraite ou suggestive qui prend le pas sur le réalisme. Un trait continu, courbe et léger peut par exemple suggérer l’harmonie, tandis qu’une tache ou un trait épais et rompu indiquent plutôt un mouvement brusque, une tension ou une perturbation.
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